Par Jolyanne Bérubé-Cyr
Appréciation:
J'ai aimé faire de l'art à l'extérieur puisque c'est rare et le fait d'y puiser directement les objets de notre choix pour faire les œuvres d’art. Il s'agit de trouver ce qu'il y a de plus beau dans la nature et de changer son organisation. J'aime aussi le fait qu'il faut prendre en photo les œuvres afin de garder des traces, car la nature étant ce qu'elle est fini par détruire la création de l'Homme. Il est aussi très amusant de faire de la photographie, car ceci est rarement perçu comme une forme d'art. Il y a divers éléments de langage à apprendre avec la photographie.
Expérience de création:
Nous avons d'abord, fait les exercices de bases (juxtaposition, énumération, etc.) avant de faire notre propre assemblage des éléments de la nature. Personnellement, j'ai choisi de faire, dans un cercle de branchages, un dégradé de feuilles mortes et vivantes. J'ai ensuite travaillé la photo en y ajoutant des contrastes et en la changeant de couleur (noir et blanc et en négatif).
Appréciation:
J'ai aimé faire ce projet qui était tout nouveau pour moi. J'aime bien la photographie, mais je n'en avais jamais fait. Lors de ce projet, j'ai aussi découvert le Light Art. Je trouve le résultat très intéressant à cause des différents effets que peuvent avoir la lumière et son contraste avec le fond sombre. Nous avons aussi découvert des applications mobiles pour faire ce type de photographie ce qui nous a permis d'augmenter notre vocabulaire en photographie.
Expérience de création:
Comme mentionné plus tôt, c'était la première fois que je faisais ce type d'art et mes collègues aussi. Il est assez complexe à faire. Il faut au moins être trois personnes et s'entendre sur le concept, le rôle de chacun (modèle, photographe, dessinateur) et sur le résultat final. Nous avons dû prendre plusieurs photos, car nous avons essayé différents angles, différentes luminosités, différents dessins et différentes applications entre autres. Il s'agit d'un projet qui peut demander beaucoup de temps si on est peu habitué et peu organisé. De plus, en classe, il peut être difficile de trouver un coin assez sombre pour toutes les équipes qui veulent travailler en même temps. Dans nos photos, les rayons lumineux ne sont pas toujours très nets, car il est difficile de repasser exactement à la même place pour que l'appareil ait le temps de capter le mouvement de la lumière.
Appréciation:
J'ai vraiment aimé faire ce projet. C'était la première fois que je faisais un film avec les vraies méthodes. Cela m'a permis d'apprendre le vocabulaire et diverses techniques sur lesquelles je me suis toujours questionné. Le travail fait par les studios d'animation tel que Disney m'on toujours intriguer et intéresser. De plus, c'est un projet intéressant pour les enfants de découvrir comment sont fabriqués les dessins animés qu'ils écoutent et mélanger l'art et la technologie peut être intéressant. On peut faire un projet de ce type de manière abstraite ou non, mais aussi en interdisciplinarité avec diverses autres matières (ex. français, science, histoire). Il est conseillé de prendre le ratio 10-12 image/ seconde avec des élèves du primaire ce qui fait un film saccadé.
Expérience de création:
Nous avons débuté par notre installation pour filmer le film à plat. Nous avons aussi téléchargé une application qui s'est faite rapidement. Il est facile de trouver des applications gratuites et de qualité. Nous nous sommes entendus sur le plan du film et avons commencé à faire les prises de vue. Ce qui était plus difficile c'est de penser à prendre une photo à toutes les modifications que nous apportions. Je crois toutefois que nous nous en sommes bien sorti, malgré le fait que nous avons dû supprimer quelques images, car nous voyons nos mains. Je crois fermement que nous pouvons faire ce projet avec des enfants si nous avons accès au matériel nécessaire.
Appréciation:
J'aime le Pop art et son côté dénonciateur. Par des images simples, on peut dire ce que l'on souhaite. Ici le sujet est la surconsommation, un des sujets préférés du mouvement artistique. Le Pop art rappelle les Bds, les articles de la vie courante et les icônes populaires. Les couleurs primaires et pures sont utilisées avec le contraste du blanc et du noir. Les couleurs ne sont pas disposées de manière réaliste non plus. Il y a souvent la présence de formes géométriques pour faire de fond, mais aussi de trame issue des Bds et des phylactères.
Expérience de création:
J'ai fait quelques fois des œuvres de Pop art, mais jamais à l'aide d'outils technologiques. J'ai trouvé cela difficile de le faire ainsi, mais le résultat est plus fidèle au style. Pour que les élèves soient en mesure de faire le projet, il faut qu'il ait accès à un procédurier très détaillé et à jour, autrement le logiciel Gimp est assez complexe et il faut tenir compte du fait que l'on ne peut pas accompagner tous les élèves de la classe en même temps pour faire le projet. De plus, il faut vraiment que la photo soit en noir et blanc seulement, sans aucun gris, car autrement, on ne peut sélectionner avec l'outil de la baguette magique le visage. J'ai eu un peu de difficulté à remplir toutes les formes. C'est pourquoi il reste des taches blanches, mais je trouve tout de même un résultat intéressant. Comme icône populaire, j'ai choisi d'intégré l'image de James Dean, un acteur des années 1950, l'époque du Pop art.
Appréciation:
Personnellement, je trouve les collages plutôt longs à réaliser. De plus, dépendant des couleurs choisies, il peut être difficile d'en trouver suffisamment pour remplir la page. Le collage est pertinent pour travailler le cercle chromatique, car on doit chercher les couleurs dans des revues ou journaux et se questionner là-dessus. Je trouve que la thématique de ce projet offre peu de variété, car elle porte seulement sur les 5 sens. Nous pouvons faire un collage en travaillant les couleurs sur diverses thématiques plus variées.
Expérience de création: J'ai choisi le bleu et le orange comme couleurs complémentaires, mais j'étais loin de me douter qu'il est difficile de trouver de l’orangé dans les revues au papier lustré. J’ai donc pris d'autres papiers moins brillants et avec des couleurs moins vives. Ainsi, le contraste est moins grand. J'ai tout de même respecté le cercle chromatique avec les dégradés des différentes variantes de couleurs. J’ai varié la technique du déchiquetage et du découpage. Avec du papier plus épais, le découpage est à préférer. J'ai aussi appris des termes: juxtaposition et superposition.
Appréciation:
Je trouve cette activité très pertinente, car elle est interdisciplinaire avec le français. Il faut représenter les monstres que l'on retrouve dans les légendes. Ici, il s’agit de légendes québécoises et de créatures monstrueuses. C'est pourquoi nous avons utilisé des éléments de la nature (ex. branches, fourrure, etc.). Le papier est préalablement vieilli avec du thé. Je trouve l'effet très réaliste et facile à reproduire. Il est possible de faire ce type de projet avec d'autres histoires et des objets recyclés par exemple.
Expérience de création:
Lors de la visite, j'ai découvert comment récupérer les os et les nettoyer avant de faire des œuvres. Ici, ceci était déjà fait puisqu'il s’agit d'une démarche à long terme. Nous avions seulement à lire la légende et ressortir les caractéristiques de la bête afin de la créer avec des os de poulet, de la fourrure, de la laine de mouton, de l'écorce, etc. Lors de la visite, j'ai trouvé cela un peu macabre d'utiliser des os de gros animaux pour faire des œuvres d'art, mais j’ai eu moins de dédain à utiliser les os de poulet.
Appréciation:
Il s'agit de faire un autoportrait irréaliste en utilisant divers médium ce qui est très amusant. On doit inclure une photo de nous en totalité ou en partie en noir et blanc et notre nom. Ensuite, on est libre de coller des images qui nous représentent et des choses que l'on aime. Il s'agit d'un travail moins complexe que l’autoportrait en dessin pour apprendre à connaitre une personne. C'est donc un excellent projet en début d'année scolaire. Le collage et le découpage sont des habiletés déjà présentes chez les plus jeunes. On peut faire ce projet à tous les niveaux. L'utilisation d'un papier lustré des revues rend le fini de meilleure qualité, mais aussi les couleurs plus vives.
Expérience de création:
J'ai choisi le fond rouge, car je trouve qu'il s’agit d'une couleur vivante contrastant bien avec le noir et blanc de ma photo. J'ai utilisé divers éléments que j'aime et qui me représentent (ex. fleur, voyage, nature, chien, etc.). J'ai décidé d'intégrer ces éléments dans des fleurs pour faire un fond ressemblant à de la tapisserie. Personnellement, je trouve qu'un collage est plus pertinent quand on distingue le fond et la forme c’est pourquoi la feuille n'est pas remplie. Il était facile de trouver divers éléments dans les revues sans des contraintes de couleurs par exemple.
Appréciation:
J'ai bien aimé faire ce projet. Il est simple à réaliser et demande peu de temps. Il peut aussi être réinvestit dans plusieurs contextes et matières puisqu'il s'agit non seulement d'art, mais aussi d'une technique de prise de notes. On peut aussi le faire avec différents niveaux scolaires dont avec des plus jeunes qui ne savent pas encore écrire. Personnellement, j'aime de dessin alors cette activité m'a détendue.
Expérience de création:
Pour répondre à la question, j'ai voulu représenter les différentes formes d'art qui sont équivalentes pour moi bien que je ne l'ai pratique pas toutes. J'ai voulu aussi représenter les différents aspects de l'art: l'émotif et le cognitif. Du côté droit, j'ai présenté des artistes de différents courants et époques afin de montrer que l'art évolue dans le temps, mais qu'elle a toujours eu sa place au fil du temps.
Appréciation:
J'ai plus ou moins apprécié faire ce projet, car je trouve cela difficile de se dessiner soi-même, mais aussi, je n'aime pas travailler avec le pastel gras. Il est difficile de remplir de petites sections avec la pastel d'autant plus que celle-ci s'étend facilement où il ne faut pas. Toutefois, il s'agit d'un projet pouvant se réaliser à tous les niveaux scolaires, mais des élèves plus âgés vont être plus critiques face à leur œuvre. J'ai bien aimé faire la texture des cheveux que je trouve très réussie grâce à la technique du grattage.
Expérience de création:
Bien qu’il ait été difficile de faire un dessin réaliste de moi-même et de représenter une émotion, je trouve que j'ai bien réussi la texture des cheveux avec le grattage. Je suis très fière des yeux. J'ai mis beaucoup de blanc pour les rendre plus réalistes. J'ai eu plus de difficultés à utiliser l'huile pour faire la peau. J'ai aussi découvert qu'il est plus facile de commencer par les couleurs foncées afin de moins tacher les couleurs pâles.
Appréciation:
Le Sketchnote est une bonne façon de prendre des notes lors d'une visite au musée afin de garder des traces de ce qui nous a marqués et d'en faire le résumé. Il faut que les élèves fassent autre chose aussi durant leur visite, car seulement observer les œuvres risque de leur faire perdre de l'intérêt et peu stimuler leur esprit critique. Il est alors possible de faire un Sketchnote ou un croquis. Personnellement, je trouve le Sketchnote plus esthétique, plus organisé, plus informatif et plus agréable à faire. C'est quelque chose que l'on peut utiliser avec les élèves de tous les niveaux.
Expérience de création:
Pour faire le résumé de ma visite au musée d'art de Saint-Jérôme sur l'exposition " Par la forêt", j'ai représenté les sens qui ont été interpellés lors de la visite. J'ai aussi représenté divers éléments de la nature qui se retrouvaient dans l'exposition. J'ai aussi exprimé mon questionnement sur la place de l'esthétisme en art qui a été remise en question lors de ma visite. Lors de la visite, j'ai découvert les installations qui représentaient le rapport des humains avec la nature.
Appréciation:
J'ai aimé faire ce projet, car j'aime la thématique des oiseaux qui peut représenter diverses choses (ex. mot, liberté, paix, etc.). L’utilisation de pochoir est aussi très simple et se fait bien avec de jeunes élèves. Il faut juste leur expliquer et les aider à découper une forme de l'intérieur pour faire un pochoir positif. Avec ce projet, nous pouvons aussi voir différentes notions (dégradé, couleurs complémentaires, etc.). L'application à la tache est aussi très facile et rapide à faire. Personnellement, j'en avais déjà fait et j'ai eu autant de plaisir que la dernière fois. On peinture avec des objets inhabituels (ex. brosse à dents, éponge, etc.) ce qui peut interpeller les élèves.
Expérience de création:
La partie la plus complexe est de faire un pochoir à notre goût et de le découper de l'intérieur. Avec des enfants plus jeunes, on peut leur fournir des pochoirs déjà faits. J'ai fait les oiseaux avec la brosse à dents pour les rendre plus délicats. Je n'ai pas utilisé de peigne, mais la gouache se nettoie très bien sur les mains. J'ai pris une éponge triangulaire pour venir faire des plumes dans la pointe de leurs ailes. Le fond est entièrement réalisé à l'éponge et avec les quelques éclaboussures des oiseaux. J'ai opté pour des couleurs complémentaires (bleu-violet et rouge orangé) pour que les formes se distinguent davantage. Pour le fond, j'ai aussi fait un dégradé pour symboliser le fait que les oiseaux migrent vers un meilleur monde. La phrase que j'ai écrite explique bien le monde négatif dans lequel on vit : "Vivre ici ou m'envoler? Je préfère quitte!". Toutefois, le crayon doré ne parait pas beaucoup sur le fond foncé, alors, je l'ai tracé en noir.
Appréciation:
Je trouve qu'il est pertinent de voir les impressionnistes, car ils sont très importants dans l'histoire de la peinture et leur réalisme est remarquable. De plus, la technique qu'ils utilisent, l'application à la tache, est très simple à exécuter et est agréable à faire. Tout dépendant de la façon dont on tient le pinceau ou la brosse, les taches ne font pas le même effet. Ce qui est le plus long dans ce projet, c'est de faire le mélange des couleurs. Autrement, la peinture se fait assez rapidement ce qui est un avantage en classe, car il y a beaucoup de gestion de matériel.
Expérience de création:
Je suis particulièrement fière de cette oeuvre, car j'ai rarement fait de la peinture. Je trouve qu'ici j'ai bien utilisé l'application à la tache que j'ai découverte. La seule chose qui me déçoit un peu c'est le dégradé de couleurs dans les arbustes qui est plus ou moins réussi. En fait, même lorsqu'on regarde de loin l'oeuvre, le dégradé de couleurs à cet endroit détonne et semble peu réaliste. En revanche, j'ai bien rendu la technique, car le ciel et les feuilles des arbres semblent réels. L'effet de l'eau est assez difficile à réaliser aussi. Dans l’ensemble lorsque l'on regarde de loin la peinture, on ne voit pas les coups de pinceau, mais un paysage uniforme. Il faut aussi faire des lignes de plomb très pâle, car la peinture ne les cache pas toutes surtout lorsqu'elle est de couleur pâle.
Appréciation:
Il est difficile de plier et de découper de manière droite, sans règle, les pièces de carton. Ensuite, quand on vient pour les assembler, il est difficile de les ajuster. Il peut aussi être difficile de coller solidement les pièces. Pour toutes ces raisons en plus du fait qu'il faut avoir une bonne motricité pour couper des pièces de l'intérieur, il s'agit d'une activité pour des élèves du troisième cycle. Le fait qu'il faut faire de la construction et qu'il s'agit d'un projet en 3D intéresse particulièrement les garçons. Il faut aussi opter pour le carton blanc et le mur blanc lors de la projection. La lumière des canons va faire ressortir visuellement les reliefs et les décorations de la maison.
Expérience de création:
J'ai opté pour une maison haute avec beaucoup de petites fenêtres pour correspondre au style victorien. J'ai aussi mis différents toits et fait des tourelles en formant des cônes. J'ai eu de la difficulté à faire tenir solidement certaines pièces que j'ai solidifiées avec de la colle chaude. Par contre, en classe, on ne peut pas laisser les enfants utiliser la colle chaude. Pour la thématique sur les valeurs, il faut intégrer des mots et des pensées à la maison. J'ai donc écrit une pensée intégrée dans une des deux tourelles et une valeur dans l'ouverture de la porte. Lors de la projection, nous avions écrit notre valeur sur le diaporama projeté. En fait, il y avait deux projecteurs placés en angle. Les images défilent à des vitesses différentes et des messages différents. L'effet visuel est très réussi en particulier avec les contrastes et les jeux de lumière sur le fond monochrome blanc.
Appréciation:
C'est un projet qui se fait assez rapidement. Il faut toutefois prévoir une bonne gestion du matériel et un moment de nettoyage. Le fond se fait très rapidement. En fait, il faut choisir des couleurs proches dans le cercle chromatique et faire des motifs rapidement que l'on vient diluer avec de l'eau. Le plus long du projet est de graver les bestioles mi-animales et mi-virus dans du polystyrène. Plus on ajoute des motifs, plus ceux-ci vont ressortir lors de l'impression. Il faut aussi très bien creuser les yeux, car ce sont eux qui donnent vie aux bestioles. La technique d'impression est inspirée de Gutenberg avec l'encre, la gravure et les rouleaux compresseurs. Il s'agit d'une technique assez complexe pour des élèves, mais aussi très originale. On peut faire une murale (bestiaire) avec les animaux créés par la classe.
Expérience de création:
J'ai rarement fait de l’impression, alors je trouve cela complexe. Il est difficile de savoir si on met assez d'encre et si on a assez appuyé pour imprimer. Il faut donc que les élèves soient aidés de l'enseignant. Comme on peut voir, je n'ai pas tout à fait réussi l'impression, mais le résultat est bien, car je peux voir davantage mes fonds qui sont très réussis. J'ai aussi utilisé le crayon Pilot pour remplir les zones noires qui ne l'étaient pas assez pour faire ressortir les motifs.
Appréciation:
Il s'agit d'une activité simple et rapide à réaliser. De plus, il est facile de la faire en interdisciplinarité avec le français. Nous pouvons partir des monstres que l'on retrouve dans la littérature jeunesse entre autres ou bien de l'imaginaire de l'enfant. Ensuite, ils font un dessin au crayon de cire qui est un médium très simple à utiliser pour de jeunes enfants. Il est seulement important de leur demander d'appuyer très fort. Ici, nous avons travaillé les valeurs foncées et claires pour faire ressortir les yeux et les dents dans la noirceur. La technique de l'enfumage est faite par l'adulte, car elle peut être difficile pour de jeunes élèves. Une fois le projet sec, ces derniers viennent gratter les éléments qu'ils trouvent les plus importants et qui doivent être visibles. On peut demander aux élèves d'écrire un texte pour décrire leur monstre.
Expérience de création:
J'ai aimé faire ce projet, car j'aime la technique d'enfumage. Elle permet de donner un air de tristesse ou de peur à un projet tout en imitant bien la nuit. Pour mon monstre, je me suis inspiré de la vache, du chevreuil, des extraterrestres et de la chauve-souris. J'ai utilisé des couleurs opposées du cercle chromatique pour que les contrastes soient plus grands. J'ai aussi dessiné mon monstre avec de grands yeux pour le rendre attachant et timide. Je n'ai pas mis du crayon de cire partout sur le fond pour donner un aspect plus réel au ciel. Je suis venu gratter seulement le blanc et quelques endroits où il y a de la lumière. Ainsi, dans le noir, on voit les yeux et la dent de mon monstre.